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Progrès en Urologie - FMC ; 32(3, Supplement):S33, 2022.
Article in English | ScienceDirect | ID: covidwho-2086228

ABSTRACT

Objectifs La nouvelle version de VISUCHIR par sous spécialités permet une approche plus intuitive pour nous urologues. Une analyse de l’impact du COVID entre 2019 et 2020 sur nos activités est ainsi facile à réaliser et est présentée ici. Méthodes Nous avons analysé les données VISUCHIR (https://dataviz.atih.sante.fr/) sur les années 2019 et 2020. Diverses comparaisons ont été effectuées : urologie et activité chirurgicale globale en France ;par région ;par sous spécialités (cancérologie, lithiase, urgences, etc., par type d’établissement et enfin impact sur la chirurgie ambulatoire). Résultats L’activité chirurgicale globale a chuté de 2019 à 2020 de 15 % soit 1 200 000 actes non réalisés. Cette baisse a été de 10 % pour l’urologie. Les trois régions les plus impactées hors DOM-TOM, sont Auvergne Rhône Alpes, Bourgogne Franche Comté puis Île-de-France avec respectivement −14, −14 et −13 %. Le domaine le plus impacté est « incontinence-statique pelvienne » avec −28 % et la « transplantation rénale » −28 % et le moins est la « cancérologie » avec −3,6 %. Les établissements les plus touchés ont été les hôpitaux −14,5 % versus −7,4 % pour les cliniques. L’ambulatoire urologique a diminué de 11 % contre 14,6 % pour toute la chirurgie. Conclusion L’impact du COVID est globalement de 10 % en urologie et comme on pouvait s’y attendre on retrouve un relatif gradient Est Ouest et enfin la pathologie fonctionnelle et la greffe rénale ont été la plus perturbées.

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